Et si les robots remplaçaient les humoristes politiques assis sur des sièges éjectables ? Nous avons demandé à ChronIA notre collaboratrice virtuelle de nous faire rire un peu. Nos questions sont en gras, ses réponses en maigre.
Peux-tu faire un peu d’humour politique, en lien avec la situation nationale ?
« Vous avez vu que le gouvernement nous parle encore de réformes des retraites ? Ça devient comme la météo : à chaque saison, on a droit à un nouvel épisode. Bon, sauf que là, c’est moins une série Netflix qu’une épreuve de Koh-Lanta : « Qui arrivera à la retraite avant que l’âge légal soit repoussé à 150 ans ? » Spoiler : personne.
Et puis, parlons un peu de l’inflation. Le prix des pâtes a tellement augmenté que bientôt on va devoir se cotiser entre voisins pour se faire un plat de spaghetti. On va voir apparaître des applications de partage de coquillettes : ‘CocoPâtes’, ‘UberCoquillette’… C’est là qu’on voit que la vie devient chère : tu te ruines juste pour manger ce que tu te cuisinais déjà en fin de mois quand t’étais étudiant.
Et qu’est-ce que vous pensez des discussions sur le climat ? Ah, non, pardon, j’ai oublié : on n’en parle plus trop en ce moment. Mais bon, c’est vrai qu’à force d’attendre les actions, on a tous fini par prendre un abonnement annuel à la piscine… des inondations.
Bref, en France, on fait des choix. Par exemple, entre acheter de l’essence ou payer son loyer, les deux c’est trop ambitieux. Mais ne vous inquiétez pas, si jamais vous hésitez encore, il y a toujours un ministre pour nous rappeler que « ça va mieux »… Pour lui, en tout cas. »
Voilà, un petit condensé pour rire un peu en pensant à la situation actuelle !
As-tu des propositions pour nous faire rire avec la dissolution et le fait que Macron tarde à nommer un nouveau Premier ministre?
Ah, la dissolution ! Vous avez vu, Emmanuel Macron qui tarde à nommer un nouveau Premier ministre, c’est un peu comme un gosse qui fait durer le suspense avant de choisir son jouet préféré. On dirait qu’il attend que le candidat parfait lui tombe du ciel, ou peut-être qu’il cherche encore la touche « réinitialiser » sur son clavier. Le souci, c’est que pendant ce temps, tout le monde est là, à attendre, comme des figurants dans un film où le réalisateur a paumé son scénario.
Et puis, c’est drôle, parce qu’on parle de dissolution comme si c’était une nouvelle stratégie de jeu vidéo. Mais à ce rythme-là, on va finir par se dire que c’est plutôt une partie de cache-cache où personne ne veut être trouvé. Je me demande si, à l’Élysée, ils n’ont pas monté un petit Escape Game spécial politique : « Trouver le prochain Premier ministre avant que le pays se demande si on en a encore besoin. »
En même temps, avec tous les candidats potentiels qui se font aussi rares qu’une baguette à 1 euro, on comprend qu’il prenne son temps. Après tout, c’est pas évident de trouver quelqu’un qui accepte de sauter sur une barque qui prend l’eau, tout en souriant pour la photo officielle. C’est comme essayer de convaincre quelqu’un de faire une cure de brocolis à vie : bon courage !
Et voilà, on est tous là, à se demander : « Mais quand est-ce qu’il va se décider ? » Mais bon, patience, ça va venir… peut-être après les JO de Paris, qui sait ? Après tout, dans ce climat, pourquoi se précipiter ?
C’est drôle ça ?
L’humour est quelque chose de très subjectif, et ce type de satire politique joue souvent sur l’absurde et l’exagération pour faire sourire ou réfléchir. Le but était de créer une situation un peu absurde en imaginant la politique comme un jeu de cache-cache ou un Escape Game, ce qui peut prêter à sourire en fonction de votre sensibilité à ce genre d’humour.
Si cela n’a pas vraiment résonné pour vous, peut-être qu’un angle différent serait plus efficace, comme par exemple en utilisant des comparaisons plus terre-à-terre ou en accentuant davantage le décalage entre la gravité de la situation et l’attitude perçue des responsables politiques. L’humour est un art qui se peaufine, et il n’y a pas de formule magique pour faire rire tout le monde à chaque fois !
Essaie un angle différent alors.
Bien sûr, pour vous faire rire, essayons un angle différent, plus axé sur des comparaisons terre-à-terre :
« Alors, on en est où avec cette dissolution ? Parce que ça commence à ressembler à cette fameuse soirée où tout le monde attend l’invité principal qui n’arrive jamais. Vous savez, le genre de soirée où t’as déjà fini le buffet, bu trois verres de vin, et tu commences à te demander si t’as pas raté un texto.
Macron qui tarde à nommer un nouveau Premier ministre, c’est un peu comme quand t’es en pleine partie de Monopoly et que t’attends que quelqu’un se décide enfin à acheter la rue de la Paix. Sauf que là, c’est plutôt la rue de l’Embarras, et qu’on n’est pas sûrs du tout que ça vaille le coup.
Le Président, il doit se dire : « Bon, je prends qui pour la rentrée ? » Mais le problème, c’est qu’à force d’attendre, on a l’impression qu’il fait défiler les candidats comme dans The Voice : « Tu veux être Premier ministre ? Non, pas toi… Non plus… Allez, passe au suivant ! »
Et en attendant, on se demande tous : est-ce que le nouveau Premier ministre va enfin arriver ou est-ce qu’on va finir par se dire qu’on peut très bien vivre sans ? Parce que là, c’est comme si on attendait un plombier pour une fuite d’eau, et qu’au bout d’un moment, tu te dis : ‘Bon, c’est pas grave, on va vivre avec une piscine dans le salon’.
Bref, on est là, dans l’attente, comme quand tu prends un ticket à la Sécu et que tu vois que t’es le numéro 157… alors que l’écran affiche encore le 43. Tu te dis : « Ça va peut-être prendre un peu de temps, cette histoire… »
Cet angle joue davantage sur des situations du quotidien, en utilisant des métaphores familières pour illustrer l’attente et l’incertitude. J’espère que celui-ci vous fera sourire !
Peux-tu tenter quelques punchlines ?
Bien sûr, voici quelques punchlines pour taper fort et concis :
- « Macron qui tarde à nommer un Premier ministre, c’est comme un chef d’orchestre sans baguette : tout le monde attend le signal, mais ça reste le grand silence. »
- « La dissolution, c’est un peu comme une promo sur le beurre à Noël : tout le monde en parle, mais personne ne sait quand ça va arriver. »
- « Nommer un nouveau Premier ministre, ça semble aussi compliqué que de trouver une place en crèche à Paris : tout le monde est sur liste d’attente, mais personne n’est sûr d’y arriver. »
- « À ce rythme, Macron va finir par nommer un Premier ministre via une story Instagram : ‘Swipe up pour découvrir mon choix !' »
- « Le suspense autour du nouveau Premier ministre, c’est comme un épisode de ‘Koh-Lanta’ : on attend tous de voir qui va être éliminé, mais à la fin, c’est le public qui souffre le plus. »
- « Tarder à nommer un Premier ministre, c’est un peu comme remettre la réparation de ta voiture au lendemain : plus tu attends, plus t’as de chances que ça explose en pleine route. »
- « Macron qui cherche un Premier ministre, c’est comme si le Père Noël avait oublié de faire sa liste de cadeaux : le 25 décembre, on risque d’être déçu. »
J’espère que ces punchlines apportent le sourire et un peu de piquant !
Alors, avez vous ri ? Bien que les progrès de l’IA soient remarquables, elle est encore bien loin de Guillaume, de Wali et des autres, non ? C’est d’humour humain dont on a besoin !
ChronIA