Skip to content
  • Les articles
    • Zistwar
    • Kiltir
    • Société
    • Economie
    • Ecologie
    • Politique
    • Vu d’ailleurs
    • Les sens
    • Les vidéos
    • Podcasts
    • Education aux médias
  • //
  • Libre expression
    • Ma contribution écrite
    • Newsletter
WEB APP
YouTube Video VVVyRmZfZUJNU0JTTjRVMktTLWtudFF3LlpSVGlva2VOWnZ3 Les articles sont disponibles sur www.parallelesud.com
Les articles sont disponibles sur www.parallelesud.com
Approfondir son toucher dans l’obscurité à travers le portrait d’un tableau, c'est une expérience à vivre autant pour les personnes déficientes visuelles que pour les valides.La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredi, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
L’UR 974 — « Tienbo nou larg pa » — avait une « figure » à sa tête : Clara Derfla. Il a aujourd’hui une équipe autour de Frédéric Mailly et Olivier Picard. Avec un but qui s’affirme chaque année un peu plus : défendre les salariés jusqu’au bout quitte à renverser des systèmes et créer leur propre outil de travail.Depuis 9 ans, Clara Derfla incarnait l’Union régionale 974. Mais il était écrit dans les statuts de ce nouveau syndicat, née d’une scission avec la CGTR, qu’il n’était pas possible de cumuler plus de trois mandats de trois ans.Malgré l’insistance des camarades qui lui demandaient de poursuivre, c’est elle-même qui a insisté pour que soit respectée cette garantie de démocratie syndicale et de renouvellement. Elle a donc passé le relais lors de l’assemblée générale du 1e septembre à Frédéric Mailly, lui même entouré d’un deuxième secrétaire général, Olivier Picard et quatre secrétaires-généraux adjoints à même de se répartir les tâches.Cette transition méritait bien que l’on se penche sur ce qu’est devenu le nouveau venu de la scène syndicale. Nous avons donc ouvert les guillemets pour Clara Derfla et Frédéric Mailly afin qu’ils racontent l’aventure de l’UR974.
La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
Tous les articles évoqués, et bien d'autres, sont disponibles sur www.parallelesud.com.
La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
[Inceste, derrière les murs/3]
Nicolas Puluhen est l'auteur du livre « Mon P'tit Loup » sorti en avril 2023 dans lequel il publie plusieurs récits de victimes de violences sexuelles sur mineurs. Un livre dont l'écriture s'est imposée comme une forme de thérapie, une manière de confier son histoire pour survivre, pour tenter de se libérer. Pendant des dizaines d'années, son histoire est restée secrète. Aujourd'hui, à travers son association « Mon P'tit Loup » et les ateliers d'écriture qu'il organise, il fait son possible pour accompagner d'autres personnes à confier leur propre vécu.Nicolas Puluhen a 51 ans. Jusqu'à ses 42 ans, il n'a jamais dit un mot sur les viols qu'il a subis entre 5 et 7 ans. « La première fois j'étais sous le choc et par la suite j'étais apeuré, il y avait une sorte de dissociation. » L'auteur des viols est son cousin, de dix ans son aîné. Il profite des événements familiales pour emmener l'enfant « jouer » dans le grenier. Nicolas Puluhen n'a jamais rien oublié. Il n'a pas connu l'amnésie traumatique que décrivent certaines victimes.« Tout petit, je comprenais que si j'en parlais ça risquait de créer des tensions dans la famille. Mon agresseur était un mec qui ne s'intéressait à personne d'autre qu'à lui et quand il venait avec moi, il n'y avait aucune parole, il me soumettait par le regard. » Nicolas Puluhen raconte dans cette interview les mécanismes qui se sont mis en place dans son cas personnel. Le silence, l'autodestruction, et les solutions qu'il a trouvées pour tenter de survivre. A travers son histoire, c'est le processus ardu de la libération de la parole qui transparaît.La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredi, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
Portrait d'une bénéficiaire du Beelab, dispositif d'accompagnement des femmes créatrices d'entreprise.Tantely Rakotomanga veut commercialiser des huiles essentielles de l'océan Indien.La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
Portrait d'une bénéficiaire du Beelab, dispositif d'accompagnement des femmes créatrices d'entreprise.La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
Portrait d'une bénéficiaire du Beelab, dispositif d'accompagnement des femmes créatrices d'entreprise.Ophélie Casali-Crasnier veut commercialiser des équipements pour la randonnée.La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
[Kosa in sonz à Lou cachet]
Deux jours de festival pour sauver l’école de musiqueSamedi 26 et dimanche 27 août 2023 se tiendra à la ferme pédagogique Lou Cachet, à l’entrée de la route de Cilaos, la première édition du festival Kosa in sonz. L’événement est organisé en soutien à l’école de musique du Tampon, Tikaz music, menacée de fermeture.La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
Les articles sont gratuitement disponibles sur parallelesud.com
Les articles présentés dans ce teaser sont disponibles sur www.parallelesud.com.
À l’heure où l’inaction climatique est dénoncée de toutes parts, la Région Réunion vient de dire non à la mise en oeuvre des objectifs de lutte contre la bétonnisation présentés par le gouvernement. A-t-elle cédé à la pression de maires gourmands en béton et en déclassements de terres agricoles ? Wilfrid Bertile, « Monsieur Aménagement » de la collectivité, répond que le désaccord porte sur des points techniques mais que La Réunion a déjà adopté une « trajectoire vertueuse » pour limiter son urbanisation. Il reconnaît aussi une part de « peur » de la part des élus qui craignent de ne plus pouvoir développer leurs projets…La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
Parmi les aides techniques qui existent sur le marché, on peut trouver différents types de cannes électroniques. Le modèle que j’aimerais vous présenter aujourd’hui est le Tom Pouce 3.C’est un boîtier électronique amovible se fixant sur une canne blanche.La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
Les articles et les vidéos sont disponibles sur www.parallelesud.com.
Après avoir enterré son fils Jonathan, Chantale Payet a appris incidemment que le coeur avait été prélevé lors de l’autopsie. Depuis des mois elle crie sa douleur et demande, en vain, la restitution de l’organe. Saisi par la députée Nathalie Bassire, le Garde des sceaux Eric Dupond-Moretti a lui-même qualifié cette histoire d’« inhumaine ».La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com. :https://parallelesud.com/ethique-le-cri-dune-mere-indignee-apres-lautopsie-de-son-enfant/Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
L'article qui accompagne cette vidéo sort ce vendredi 14 juillet sur le site de www.parallelesud.comSi vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredi, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
Ambiances atmosphériques dans la nuit de samedi à dimanche au pied du cône éruptif de l'éruption débutée le 2 juillet dernier.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
Les articles sont à lire sur www.parallelesud.com.
Ce premier épisode rapporte le témoignage de Désirée, qui vit au Tampon, dans le sud de La Réunion. Elle a découvert que sa fille avait été violée à plusieurs reprises par son beau-frère qui était également son voisin."Inceste, derrière les murs", c'est la nouvelle série que nous lançons aujourd'hui. Une série composée uniquement de témoignages de femmes et d'hommes qui ont connu l'inceste ou la pédocriminalité de près : des mères, des pères, des enfants, des associations, des auteurs de violences. Ils nous raconteront les rouages psychologiques qui se mettent en place, l'emprise, la violence et l'amour abusif, la culpabilité, l'autodestruction. Les ravages que ça engendre, à l'intérieur, à l'extérieur.Quand on parle d'inceste, la mort n'est jamais loin. Elle est dans les ruines sur lesquelles nous sommes assises pour réaliser une interview, présente dans les chansons ou les journaux intimes, les scarifications sur la peau, l'éclatement de la famille. C'est le père qui s'est donné la mort, le beau-père qu'on aurait voulu tuer, l'enfant qu'on était, avant.La mort. Elle est aussi dans le silence. Le silence des institutions, le silence de professeurs, ou de voisins, d'amis, le silence de ceux qui savent et de ceux qui ne savent pas.Ca a commencé dans le secret, l'interdit. Autour du viol subi par l'enfant se dresse le mur d'autorité des adultes qui tentent de contenir la diffusion de l'information à chacun des cercles qu'elle atteint. On évoque parfois le viol ou l'inceste par "ladilafé" au sein de la famille, ou "affaire de mœurs" pour des représentants du milieu judiciaire.Aujourd'hui, nous ouvrons cet espace pour recueillir la parole et la montrer, nue, vulnérable, et en même temps tellement courageuse et forte d'impact. Qu'elle soit anonyme ou affirmée, qu'elle provienne de victimes, leurs proches, ou d'auteurs. Chaque personne concernée est invitée à partager son vécu, ses compréhensions, ses prises de conscience pour qu'elles puissent en aider d'autres, pour qu'elles soutiennent une évolution de fond sur notre considération de l'enfant, de pulsions sexuelles maladives, de désir, sur le rapport à notre corps et sur notre rapport à l'amour, de manière sociétale.La réalité humaine a plusieurs facettes et l'idée n'est pas de gommer la complexité ni de simplifier dans un sens ou dans l'autre, mais de remettre de l'émotionnel, des sentiments, de l'humain là où il y a eu déshumanisation*   *   *   *   *   *   *   *   *   *   *   *   *   *   *   *   *   *   *   *La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredi, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
A peine émergées du sable, les minuscules tortues se hissent sur la plage. Il est 9h30 mais la chaleur est déjà écrasante. Instinctivement, elles se dirigent en direction de la mer, avec des mouvements de nageoires frénétiques. La nuit dernière, à Nosy Iranja, cinq tortues étaient en train de pondre sur la même plage.La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Si vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredi, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
RENCONTRE AVEC CHARLOTTE RABESAHALA
Cette année marque le 360e anniversaire du peuplement de La Réunion.
Si l’on veut être pointilleux la souche la plus ancienne, arrivée en 1663, est malgache.
Elle a précédé de deux ans la souche française débarquée en 1665.
Pourquoi ? Comment ? C’est ce que révèlent les études de l’anthropologue Charlotte Rabesahala sur le royaume maron et malgache de l’intérieur.PRÉCISION : Rendons à Jules Hermann et à sa Lémurie l'hypothèse que tous les noms de La Réunion proviennent du malgache. Au début de la vidéo (2'50) Charlotte Rabesahala ne fait que citer cette théorie imaginée par Jules Hermann mais elle nous a précisé qu'elle ne la reprend nullement à son comptes. Ses recherches sur l'anthroponymie et la toponymie s'appuient quant à elles sur des données scientifiques solides pour mesurer l'importance des apports malgaches à La Réunion.
Cette précision s'imposait dans le riche débat autour du maronage et du peuplement de La Réunion. Un débat que Parallèle s'engage à animer dans ses futures publications.La suite de l'article est à lire sur www.parallelesud.com.Interview mené par Franck Cellier, et vidéo réalisée par Zachary BlandSi vous voulez soutenir le développement d'un média indépendant et libre sur l'île de la Réunion, vous pouvez participer en faisant un don (défiscalisable à 66%) : https://www.helloasso.com/associations/parallele-sud/formulaires/1/widgetPour vous abonner gratuitement à la newsletter de Parallèle Sud, envoyée tous les vendredis, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
Les articles complets sont à lire sur www.parallelesud.com.Pour vous abonner gratuitement à notre newsletter du vendredi, c'est ici : https://bit.ly/3opFxqH.
En voir plus… Abonnement à la chaîne YouTube

Parallèle Sud

Nos valeurs - Contact - Newsletter - Dons - Mentions légales - Politique de confidentialité - RNA/SIRET - RC Pro

Franck Cellier : 06 93 86 65 11 - Jéromine Santo Gammaire : 06 92 56 83 48 - Email : laredaction@parallelesud.com

Copyright © 2023 Parallèle Sud. Tous droits réservés.

Application Parallèle Sud

Installer