Albioma a refoulé du bois « non-éthique » pour garder la confiance de ses partenaires

Pour produire de l’électricité, Albioma a-t-il brûlé du bois issu de la déforestation ? Pour mettre fin au doute, la direction se déclare désormais intraitable sur la traçabilité du carburant de ses chaudières et a même refoulé une cargaison douteuse. Transition écologique oblige, la France a renoncé à faire brûler du charbon pour produire de l’énergie. A La Réunion, les chaudières du Gol et de Bois-Rouge, gérées par Albioma, ont donc dû remplacer le charbon par du bois durant ces trois dernières années. Cette transition vers une biomasse a priori renouvelable est-elle aussi écologique qu’annoncée ? Qu’est-ce qui nous garantit…

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A propos de l'auteur

Franck Cellier

Journaliste d’investigation, Franck Cellier a passé trente ans de sa carrière au Quotidien de la Réunion après un court passage au journal Témoignages à ses débuts. Ses reportages l’ont amené dans l’ensemble des îles de l’océan Indien ainsi que dans tous les recoins de La Réunion. Il porte un regard critique et pointu sur la politique et la société réunionnaise. Très attaché à la liberté d’expression et à l’indépendance, il entend défendre avec force ces valeurs au sein d’un média engagé et solidaire, Parallèle Sud.

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