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Une marmite à riz, c’est quasiment indestructible. Quand ça tombe en panne, il est fort à parier que le fusible est en cause. Pour moins d’un euro, on peut en acheter un neuf. Attention toutefois à choisir le même, qu’il puisse remplir sa fonction de protection électrique. Muni de son tournevis, Julien, de l’association Ekopratik, nous montre comment le changer. A savoir, Julien et Ekopratik se déplacent sur toute l’île pour nous montrer comment réparer ses appareils électroménagers.
Les écotutos
L’équipe de l’association Parallèle Sud s’est rendu compte qu’au-delà de beaux discours creux, les plus actifs dans la transition écologique sont souvent les petits acteurs du territoire : associations, collectifs, citoyens. A travers 44 tutos, nous allons à la rencontre de ces acteurs pour rendre accessibles leurs savoirs et leur expérience de terrain et les faire connaître au plus grand nombre. Embarquez avec nous pour 44 semaines de découvertes, de pratique et de mise en réseau !
Ce projet a été financé par le Budget d’initiatives citoyennes lancé par le Département de La Réunion et a obtenu suffisamment de votes pour pouvoir aboutir. Merci encore pour vos votes !
Marmite à riz à réparer
Ce qui diffère de la cuisson en Métropole, c’est qu’au lieu de faire bouillir de l’eau salée et de plonger le riz dedans, de laisser cuire, puis jeter l’eau, on lave à l’eau froide la quantité de riz nécessaire, puis on le met à cuire, soit dans un autocuiseur à riz, soit dans une casserole, recouverte d’une quantité d’eau précise.
On l’ébullitionne, on minimise le feu et on laisse cuire jusqu’à ce que l’eau soit complètement évaporée.
L’idéal avec un autocuiseur est de ne pas se soucier du temps nécessaire pour la cuisson.
Il est essentiel de ne jamais tremper le riz thaï avant sa cuisson, car il serait dégradé par la suite. À la différence du riz Basmati qui, lui, peut être laissé tremper pendant 30 minutes et sera même supérieur.
