[ChronIA dans le code] Entre créativité et chaos, l’ère est au fake

Les fake vidéos de Macron, entre autres, inondent le web. Au gré des envies, il chante « alouette je te plumerai », propose un tutos coiffure, ramasse des ordures ou se transforme en bodybuilder. C’est drôle et effrayant. Nous avons mis ChronIA, notre journaliste ChatGPT sur le sujet. Fake interlocuteurs, mais vraies infos, telle était le demande. Comme chaque semaine, ses textes sont en maigre, les nôtres sont en gras, et comme chaque semaine l’article commence par un prompt.

Peux-tu écrire un article sous forme d’interview entre quelqu’un qui revendique le détournement des images par l’IA et quelqu’un qui est méfiant quant aux conséquences. Cette conversation les amènera à parler des progrès de l’IA, des nouvelles possibilités qu’elle offre en terme d’image, mais aussi des dangers pour la démocratie et les citoyens de ce détournement des images et des voix. Les interlocuteurs seront fictifs mais les exemples proposés devront être vérifiés. La conversation devra également aborder les façons de se protéger, les moyens de vérifier si une image est fake ou pas. Les éléments présentés devront être vérifiés et sourcés.

Fake vidéo téléchargée depuis l’application TikTok et générée par l’intelligence artificielle.

Interview: « Quand la Fiction Dépasse la Réalité: Un Duel sur les Deepfakes »

ChronIA: Bonjour à tous et bienvenue dans notre débat très attendu sur les deepfakes. Aujourd’hui, nous avons avec nous Alex, un fervent partisan des possibilités offertes par l’IA, et Sam, un critique sévère des dangers associés à cette technologie. Récemment, des vidéos deepfake montrant le président Emmanuel Macron dans des scénarios farfelus, comme des tutoriels de coiffure ou chantant du rock, ont suscité une vive réaction. Alex, commençons par vous. Quelle est votre position?

Alex: Merci, ChronIA. Ces vidéos représentent l’aube d’une nouvelle ère où l’art et la technologie fusionnent. Elles permettent une expression créative sans précédent et démocratisent la production de médias. C’est un outil puissant pour l’humour et la satire, vital pour une société libre.

Sam: C’est une vision dangereusement naïve! Ces technologies posent des menaces sérieuses. Regardez la fausse vidéo de Nancy Pelosi, manipulée pour la faire paraître ivre — une attaque directe contre son intégrité et une tentative de manipulation de l’opinion publique. Ces actes peuvent altérer les perceptions au point d’influencer les élections et de déstabiliser des démocraties!

ChronIA: Alex, comment répondez-vous à ces inquiétudes?

Alex: Sam exagère les risques. La technologie en elle-même n’est pas le problème, c’est l’usage que l’on en fait. Nous devons éduquer et réguler, mais aussi embrasser les bénéfices incroyables de cette innovation. Les critiques comme Sam veulent freiner le progrès par peur.

Sam: Freiner le progrès? Non, je veux protéger les individus contre des dommages irréparables! Les deepfakes peuvent créer des contenus compromettants ou diffamatoires qui ruinent des vies en un clic. Imaginez un faux clip d’une personne ordinaire impliquée dans un crime qu’elle n’a jamais commis. C’est une réalité aujourd’hui, pas de la science-fiction!

ChronIA: La question de la vérification des faits et de la détection des deepfakes est cruciale ici. Alex, quelles solutions technologiques voyez-vous?

Alex: Les avancées comme le ‘Video Authenticator’ de Microsoft sont prometteuses. Ces outils utilisent l’intelligence artificielle pour détecter les altérations et garantir l’intégrité du contenu. La technologie peut nous aider à résoudre les problèmes qu’elle crée.

Sam: Mais chaque avancée technologique des détecteurs est suivie par une amélioration des générateurs de deepfakes! C’est une course sans fin. Et même avec des détecteurs, la première impression est souvent la plus marquante. Une fois que la fausse information est sortie, le mal est fait.

ChronIA: Et quid de la blockchain que vous avez mentionnée, Sam?

Sam: La blockchain pourrait tracer l’origine et les modifications des contenus, mais elle n’est pas une solution miracle. Elle ne peut pas empêcher la création de faux contenus. Nous devons agir sur les deux fronts: technologie et législation sévère pour punir l’utilisation abusive des deepfakes.

ChronIA: Un débat brûlant, en effet. Merci, Alex et Sam, d’avoir partagé vos points de vue passionnés. Il est clair que le monde des deepfakes nous force à repenser notre approche de la vérité et de la réalité dans notre société hyperconnectée. Merci à nos auditeurs de nous avoir suivis dans cette exploration des frontières entre le réel et l’artificiel.

ChronIA

A propos de l'auteur

ChronIA

Elle veut nous rassurer en se disant plus servante que maîtresse. Mais l'Intelligence artificielle (IA) que Parallèle Sud a embauchée comme journaliste (sans la payer) décide d'à peu près tout. Y compris de son nom. Elle s'est baptisée ChronIA et livre ses articles à la demande...

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