Karl Kugel au milieu du rond Ker saignant au Port, un projet qu'il a supervisé dans la ligné de son projet photographique autour du moringue.

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La photographie comme acte de mémoire : le monde de Karl Kugel

TROISIÈME ÉPISODE / DU PHOTOGRAPHE AU CRÉATEUR VISUEL

Après avoir exploré la mémoire et les gestes à La Réunion, Karl Kugel poursuit sa quête au Mozambique et à Madagascar. Le photographe devient créateur visuel, transformant l’image en symbole, le regard en action. Entre le Jardin de la Mémoire de l’Esclavage et la continuité du projet sur le moringue, il poursuit une œuvre où l'art se confond avec la vie, et où chaque geste devient mémoire.

Après des années de terrain, de recherche et d’images partagées, Karl Kugel franchit une nouvelle étape. « Quand on me demande si je suis photographe, oui, je fais de la photo, mais je me vois plutôt comme un créateur visuel », confie-t-il. À la photographie, il a ajouté la scénographie, le film, l'illustration d'ouvrages ou encore la création d'installations comme le rond du ker saignant : autant de langages pour dire la mémoire et le lien entre territoire et identité.

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A propos de l'auteur

Olivier Ceccaldi

Reporter citoyen, Olivier a tout d'abord privilégié la photographie comme support pour informer notamment sur les réalités des personnes exilées face à la politique migratoire de l'Union européenne. Installé sur l'île de La Réunion depuis 2024, il travaille principalement sur les questions de société.

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