C’est pas parce qu’on n’a rien à dire qu’il faut fermer sa g… Simple. Quand la préfecture invite les journalistes, c’est qu’un représentant de l’Etat a quelque chose à dire. Basique. Cette fois, c’est pour assister à une minute de silence qu’une ministre convoque la presse. «Minute de silence en hommage aux 2 surveillants pénitentiaires tués lors d’une attaque dans l’Eure (…) La presse est cordialement invitée à cette séquence. Il convient d’être munis d’une pièce d’identité ou carte professionnelle pour accéder au site…» A Parallèle Sud, nous avons une pensée émue, également pour nos confrères de la radio.