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Se lancer dans la mode à la Réunion: quelle réalité ?

Émilie Copette Viaud, Frédéric Cadet et Tiphaine Croz de Roquefeuil ont un point en commun. Ils ont tous les trois suivi leur cœur pour faire de leur passion un défi professionnel. Celui de se lancer dans la création d’une marque, d’un projet textile ou encore d’un défilé, mais tout cela dans les contraintes d’un alignement avec des valeurs éthiques et un engagement le plus écologique possible dans un contexte insulaire. Alors, entre idéal et réalité, quelle frontière existe-t-il pour entreprendre dans le monde de la mode à La Réunion ? Parallèle Sud a tenté de répondre à cette question, avec le témoignage de ces trois créateurs.

Cet article est le deuxième épisode d’une série réalisée sur l’industrie du textile à la Réunion.

Nous l’avons vu dans un précédent article. L’industrie de la mode est l’une des industries les plus polluantes à l’échelle mondiale. Et celle-ci ne décélère pas. À l’heure où les magasins, les marques, les projets textiles bourgeonnent de part et d’autre du globe, à La Réunion aussi, plusieurs passionné·e·s de mode ont tenté l’expérience vertigineuse de partager leur art, leur vision de la mode, leurs créations, au grand public.

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A propos de l'auteur

Sarah Cortier

Journaliste issue d’une formation de sciences politiques appliquées à la transition écologique, Sarah est persuadée que le journalisme est un moyen de créer de nouveaux récits. Elle a rejoint l'équipe de Parallèle Sud pour participer à ce travail journalistique engagé et porter de nouveaux regards sur le monde.

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