Julien Sartre
Jéromine Santo-Gammaire
Franck Cellier

A l’origine de Parallèle Sud, nous sommes trois journalistes de terrain et d’investigation. Anciens journalistes au Quotidien de la Réunion, nous revendiquons l’importance, la nécessité, d’un contre-pouvoir fort, humble, et qui défende les idées et les intérêts de la population. En fondant Parallèle Sud, nous nous affranchissons du carcan économique et institutionnel que subit la presse locale.

Julien Sartre

Journaliste d’investigation autant que reporter multipliant les aller-retour entre tous les « confettis de l’empire », Julien Sartre est spécialiste de l’Outre-mer français. Ancien correspondant du Quotidien de La Réunion à Paris, il travaille pour plusieurs journaux basés à Tahiti, aux Antilles et en Guyane et dans la capitale française. À Parallèle Sud, il a promis de compenser son empreinte carbone, sans renoncer à la lutte contre l’État colonial.

Jéromine Santo-Gammaire

En quête d’un journalisme plus humain et plus inspirant, Jéromine Santo-Gammaire décide en 2020 de créer un média indépendant, Parallèle Sud. Auparavant, elle a travaillé comme journaliste dans différentes publications en ligne puis pendant près de quatre ans au Quotidien de La Réunion. Elle entend désormais mettre en avant les actions de Réunionnais pour un monde résilient, respectueux de tous les écosystèmes. Elle voit le journalisme comme un outil collectif pour aider à construire la société de demain et à trouver des solutions durables.

Franck Cellier

Journaliste d’investigation, Franck Cellier a passé trente ans de sa carrière au Quotidien de la Réunion après un court passage au journal Témoignages à ses débuts. Ses reportages l’ont amené dans l’ensemble des îles de l’océan Indien ainsi que dans tous les recoins de La Réunion. Il porte un regard critique et pointu sur la politique et la société réunionnaise. Très attaché à la liberté d’expression et à l’indépendance, il entend défendre avec force ces valeurs au sein d’un média engagé et solidaire, Parallèle Sud.

Journalistes, vos papiers !

Certes, nous n’avons pas l’habitude de nous plier aux injonctions. Mais, en l’occurence, nous te reconnaissons, lecteur, comme étant notre seul patron. Alors, oui, tu demandes à voir notre CV. Donc, nous te le communiquons.