LIBRE EXPRESSION
Tout était déjà là !
Après le 7 octobre , il y eut les appels à soutenir le massacre , toujours en cours à Gaza et en Palestine, relayés par ces monstres que les médias créent et adulent.
Puis il y eut , le ministre de l’Education nationale qui remet en cause l’éducation égalitaire pour tous.
Puis il y eut , l’éviction du juge Durand de la Civiise suite à la remise de son rapport et des ses préconisations qui devaient avoir comme devise « une pensée sans concession sur la violence et la dangerosité des agresseurs et une prise en compte inflexible des besoins fondamentaux des enfants et de leur développement . »
Et ce 20 décembre , la loi immigration votée à l’Assemblée nationale met un terme à des siècles de combat . L’indignité monte d’un cran ! La haine et le dégoût de l’autre sont portés à leur paroxysme, sans aucune honte .
Plus aucune dignité , plus aucune humanité, plus aucun honneur, plus de grandeur !
Voilà la France dans les bas-fonds de l’inhumanité qu’elle critiquait, fustigeait , « amontreur » , brandissant son titre de patrie des Droits de l’Homme , pour d’autres pays .
Tout cela pour détourner l’attention des « gens qui ne sont rien » du fameux ruissellement . C’est une énorme pyramide de coupes de champagne , que le travail des autres remplissent . Mais dès que la première coupe est pleine et
doit déborder , une main ,qui détient déjà tout ,la boit, avant qu’elle ne déborde vers celle du dessous. Alors , depuis des années le discours est de marteler que cette main qui boit cette première coupe est celle d’un étranger .Afin que l’accumulation des richesses
par les plus riches se transforme en fausse promesse sociale qui construit le dégoût et la haine de l’autre et que pour financer ce social , il faut démanteler les services publics .
Mais, nous citoyens , nous continuerons à combattre l’extrême droite , le colonialisme et toutes formes de violences !
Au moment où j’allais envoyer ce courrier , le soutien présidentiel à Depardieu , Monstre Sacré formule toute trouvée, est bien la preuve de ce qui ne changera jamais.
Ethève-Merlac Nathalie