Le vendredi 28 novembre marquait la deuxième journée du projet financé par la Commission européenne InWater et piloté par l’Université de La Réunion, avec l’aide de Prodij pour le volet jeunesse. Une dizaine de jeunes de la Mission locale ont été invités à réfléchir à des solutions durables pour protéger la ressource en eau et le récif corallien, sous les conseils d’experts de terrain ayant fait le déplacement.
Nous sommes dans les locaux de la Mission locale sud de Saint-Pierre, vendredi 28 novembre. Dans la salle de travail, une dizaine de jeunes sont installés et répartis en petits groupes et accompagnés par les dits “experts”. Parmi ceux qui ont fait le déplacement, il y a par exemple des enseignants-chercheurs, des ingénieurs en eau et environnement, ou des salariés de sociétés spécialisées dans l’énergie. Les discussions tournent autour de la protection du lagon, des dépôts sauvages, de l’impact de la surfréquentation et de l’explosion démographique notamment. Ces jeunes de la Mission locale de Saint-Pierre ont été invités à participer sur la base du volontariat au projet InWater pour réfléchir à des solutions quant à la protection de la ressource en eau et du récif corallien, dont la survie est largement menacée par le dérèglement climatique et les problématiques de piétinement, à La Réunion. L’angle choisi était celui de l’économie et de l’ensemble de ses secteurs, dont l’agriculture, le tourisme ou les ménages. Comment construire un nouveau modèle économique pour protéger l’eau et le lagon ? Telle était la question.


