Visite des ruines de l'hôtel le Superbe à Saint-Philippe festival de graf

[Exploration] Le « Superbe » entre graffs et ruines

VISITE PHOTOGRAPHIQUE

Ce n’est pas de l’urbex car le cadre est semi-naturel mais ça ressemble à une exploration digne d’Indiana Jones. Il faudrait un sabre pour se frayer un passage entre les villas abandonnées du « Superbe ». Au milieu des ruines — dont le gros-oeuvres a été déclaré « sain » par la mairie qui les met en vente — apparaissent ici et là quelques chefs-d’oeuvre de graffeurs.

Bonne visite !

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Le Superbe en urbex

L’urbex (de l’anglais urban exploration) est une activité de découverte de lieux construits et abandonnés par l’homme ou inaccessibles au public, l’explorateur urbain étant généralement appelé urbexeur. Selon l’historien Nicolas Offenstadt, l’exploration urbaine se caractérise par une « visite non autorisée et souvent sans but lucratif de lieux délaissés ou abandonnés »1. Elle a ses propres principes et pour certains, un véritable code de conduite pour préserver les lieux et les protéger au maximum, en dissimulant les adresses des « spots » – surnom donné aux lieux abandonnés – afin d’éviter d’attirer des casseurs ou des voleurs.

La visite de lieux cachés ou difficiles d’accès, comme des manoirs, des écoles, des entrepôts désaffectés, des hôpitaux ou sanatoriums, etc., fait partie de cette activité. La pratique s’étend dans certains cas plus rares à des endroits explicitement prohibés tels que les tunnels de métro, les catacombes et les rooftops (sommets d’immeubles, monuments…). La cataphilie et la toiturophilie sont ainsi des activités dites « underground » qui sont étroitement liées à certaines activités sportives comme l’escalade ou le parkour. Cette pratique s’est rapidement diffusée avec l’apparition des réseaux sociaux et des plateformes vidéo, en particulier grâce à YouTube. Dans certains endroits, l’urbex se métamorphose en « tourisme de ruine » où des voyagistes s’occupent de la visite de lieux abandonnés, comme à Berlin, Görlitz ou Detroit2.

A propos de l'auteur

Franck Cellier | Journaliste

Journaliste d’investigation, Franck Cellier a passé trente ans de sa carrière au Quotidien de la Réunion après un court passage au journal Témoignages à ses débuts. Ses reportages l’ont amené dans l’ensemble des îles de l’océan Indien ainsi que dans tous les recoins de La Réunion. Il porte un regard critique et pointu sur la politique et la société réunionnaise. Très attaché à la liberté d’expression et à l’indépendance, il entend défendre avec force ces valeurs au sein d’un média engagé et solidaire, Parallèle Sud.

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