LIBRE EXPRESSION
de l’ostracisme le plus cruel, peut-il se comporter de la sorte avec un autre peuple ?
Oui, voilà la question qu’en toute objectivité, de plus en plus de citoyens se posent. Pour ceux qui connaissent l’histoire du Monde, comme pour ceux qui s’intéressent à l’éducation, l’ethnologie, la psychologie ou la sociologie, la réponse est claire.
Tout le monde sait que le comportement d’un adulte ayant souffert dans son enfance, n’est pas le même que celui qui a eu une enfance normale. Qu’il soit bon ou mauvais, le comportement d’un adulte qui a souffert dans son enfance, est souvent excessif. Les peuples semblent se comporter de la même manière. Certains se révoltent, d’autres se résignent, mais personne n’oublie.
Même en Israël, nous avons ces deux camps, ces deux partis. C’est aujourd’hui le clan des révoltés qui l’emporte. Espérons que demain ce soit l’autre clan. Espérons surtout que la géopolitique mondiale cesse de se servir de ces combats fratricides entre humains pour pousser les pions d’une politique mondiale hégémonique.
Qui ne rêve pas de devenir Roi du Monde et d’encaisser les revenus de la planète tout entière ? Il faudrait enfin que nous comprenions tous que ce sens de l’histoire nous mène au désastre. Ce qui ne veut pas dire que notre vaisseau terrestre ne doit pas être dirigé. Quel navire peut naviguer sans risque s’il n’est pas piloté par un capitaine expérimenté ?
Quelle planète, quelle humanité peut vivre paisiblement sans une volonté universelle de paix ? Et comment éviter les tensions entre humains, pourvoyeuses de conflits et de guerres ? La réponse, là aussi, tout le monde la connait, même si certains ne veulent pas l’avouer. Les inégalités excessives et surtout leur augmentation au fil du temps, rend la vie impossible à la moitié au moins des Terriens. Alors, cher Capitaine, que vous soyez issu du pays le plus riche du Monde ou le plus pauvre, aidez-nous à enrayer cette descente aux Enfers qui, dans l’avenir, n’épargnera personne.
François-Michel MAUGIS
Chaque contribution publiée sur le média nous semble répondre aux critères élémentaires de respect des personnes et des communautés. Elle reflète l’opinion de son ou ses signataires, pas forcément celle du comité de lecture de Parallèle Sud.