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[L’Eko la Ravine] Vivement le nouveau paradigme !

CHRONIQUE

Chaque semaine, avec la volonté d’ouvrir au maximum la parole, Parallèle Sud publie les textes de chroniqueurs et s’interdit de les censurer. La rédaction tient cependant à préciser, quant à la contribution ci-dessous, qu’elle porte un regard critique sur les initiatives citées de Réinfoliberté, du Conseil scientifique indépendant ou encore de France-Soir.

On l’annonce depuis longtemps, qu’en est -il ? l’instinct de survie se donnerait un nouveau souffle face au catastrophisme ambiant et le pire serait à venir… ou pas ?

Depuis un demi-siècle au moins on prédit la fin d’un monde trop technocrate, pervers, destructeur de la nature, trop inégalitaire et on ressent aujourd’hui très fortement l’antagonisme entre ce que l’on peut décrire comme étant un complot mondial oligarchique et par réaction, une prise de conscience collective tout aussi planétaire. Le combat sera décisif, on n’a jamais été confronté à un tel enjeu.

Va-t-on échapper à la folie meurtrière des « dirigeants » du gouvernement mondial ? leur plan diabolique déjà bien avancé est presque abouti. Après le test grandeur nature de la soumission et de l’obéissance préparé de longue date et réussi par l’épisode du covid, tout semble se dérouler comme ils ont prévu, c’est-à-dire : contrôle total du vivant ! 

Les colibris et les résistants

Mais c’était sans compter sur la réactivité de l’humanité face au danger. On assiste depuis à une sorte de résistance décuplée par une conscience altruiste partagée. Expertiser, analyser ce qui relève de la science ou de l’affabulation, corriger les erreurs du passé pour se réinventer un modèle de société, (re) mettre l’humain au centre des préoccupations s’il l’a jamais été. Les colibris et les résistants n’ont cessé de nourrir ce dessein.

Ernest Pardo (*) qui parle de « supercherie judiciaire » dans son livre évoque aussi « l’armée du nombre » comme étant une alternative solide. Il faut l’agrégation des masses populaires. Aujourd’hui les lanceurs d’alerte ont contribué à porter la vérité et diffuser l’information sur le travail des résistants de la première heure dont certains ont payé de leurs vies, de leurs carrières ou ont été brisés pour avoir un peu trop « réagi » sur cette fameuse crise sanitaire et sur les dérives gouvernementales qui prennent des proportions inouïes. Est ignorant ou aveugle celui qui le veut bien. 

Tourner la page et recréer des débats publics

La 100e réunion du Conseil Scientifique Indépendant (*) s’est tenue le 18 mai dernier à Saintes (Charente Maritime). Organisée par l’association Réinfoliberté, devant 1700 citoyens scientifiques et du monde de la santé dont le Pr Christian Perronne, la généticienne Alexandra Henrion Caude, le pharmacien Amine Umlil, le fondateur du collectif “Réinfo” le médecin Louis Fouché, le Dr De Chazournes… Pour ne citer qu’eux.

Le but de cette rencontre était de faire un état des lieux de la crise sociétale, culturelle et politique actuelle, afin d’évoquer des solutions pour essayer de changer collectivement la politique mondiale de santé actuelle. Comment aborder la gestion des crises sanitaires, améliorer la santé des citoyens… ?

Avec le CSI, la raison n’est pas loin de triompher. Le nouveau paradigme dont on parle tournerait la page d’une gouvernance au bout du rouleau où ce sont les mêmes clans et dynasties qui sont au pouvoir. Une nouvelle ère érigée par l’intelligence collective (et non artificielle) qui agglomère le partage, le bon sens et les valeurs humaines. 

Par ailleurs, dans d’autres domaines, des voix s’ajoutent et renforcent l’idée d’un changement prochain :

Fabien Moine Naturopathe (France-Soir du 23 Mai 2023) :

Il faut sortir du « confort » pour retrouver de nouveaux « rituels » afin de ne pas être dépendant du système établi. Une nouvelle société passe également par le développement d’espaces de discussion dans la cité, au sein desquels la population peut reprendre la main sur les débats mainstreams, notamment vis-à-vis des médias de masses. 

Jean-Dominique Michel (anthropologue médical suisse, expert en santé publique) parle de « traité pandémique et de coup d’état planétaire », de la soumission totale de l’OMS aux promoteurs du transhumanisme.

Sans compter d’innombrables interventions et compte rendus de spécialistes qui dénoncent régulièrement « le système » devenu mafieux. Maintenant que nous savons de quel côté se trouvent les vrais complotistes, plus moyen d’échapper à la vindicte populaire !

Plus de débats citoyens et se réapproprier la parole publique

« L’idée a été mise en avant à plusieurs reprises : faire des réunions en présentiel, sortir de sa zone de confort et des réseaux sociaux. On nous enferme dans la bulle internet, les communautés virtuelles. Au début on s’y sent bien, les distances sont abolies, on communique avec des gens du monde entier qui pensent comme nous et qui partagent les mêmes convictions, les mêmes préoccupations. Ce sont en fait des mondes qui ne se rencontrent jamais, ça crée plus de divisions que ça en a l’air ».

On assiste à un tollé mondial porté par des commissions, groupes, certains élus, experts… au sein des administrations et des « arènes politiques », qui commencent à détricoter et à dénoncer les malversations, prises illégales d’intérêts et autres cachoteries très accablants de certains dirigeants haut placés, en France comme ailleurs…

De quoi nourrir quelques espoirs

Georges Ah-Tiane pour l’Eko la Ravine (31/05/23)

(*) Le CSI regroupe depuis sa création début 2021 des médecins, des chercheurs, des enseignants et bien d’autres professionnels issus de disciplines ayant notamment trait à la santé, au bien-être et au vivre-ensemble.

Son objectif a toujours été d’informer la population par des vidéos diffusées le jeudi sur la plateforme Crowdbunker face à la gestion gouvernementale de la crise sanitaire, souvent controversée. Une démarche scientifique détachée de l’industrie pharmaceutique, qui a été menée sans conflit d’intérêts.

 Un vidéo-reportage à été réalisé par France-Soir à ce sujet.

(*) Ernest Pardo : La supercherie judiciaire, de la criminalité en col blanc à la criminalité en robe noire, L’Ethique en Tocque 2018

Chaque contribution publiée sur le média nous semble répondre aux critères élémentaires de respect des personnes et des communautés. Elle reflète l’opinion de son ou ses signataires, pas forcément celle du comité de lecture de Parallèle Sud.

A propos de l'auteur

Georges Ah Tiane | Reporter citoyen

Georges Ah-Tiane est impliqué dans la vie associative depuis 1990. En France où il a vécu de nombreuses années, il s’est investi dans la promotion de la culture réunionnaise au travers de nombreux biais : en créant des associations, en enseignant le créole, en mettant en avant le patrimoine culinaire péi ou encore la musique. Il a créé des ponts entre La Réunion et la diaspora installée en France. Il a participé à une radio associative pendant douze ans avant de créer des fanzines ou petits journaux, « carry créole », « la lettre d’art’s ». De retour à La Réunion, il s’est impliqué dans la langue créole et « la conscientisation », avec l’objectif d’analyser la société réunionnaise, comprendre son fonctionnement. Dans le but de « voir quels sont les freins et comment les contourner pour aller de l’avant ». Cette chronique hebdomadaire fait suite à la gazette “kreo-lutionnaire” imprimée, l’Eko la Ravine, qu’il a tenue entre 2019 et 2020.