Quoi de mieux que l’expérience pour parler d’un sujet ? Gérald Seurin, du Collectif Réunionnais des Usagers de la Bicyclette CRUB, est parti du rond point de la ligne des Bambous pour se rendre aux états généraux de la mobilité. Il a fait le trajet en vélo électrique jusqu’au musée de Stella Matutina. Il voulait faire une comparaison entre le vélo, la voiture et le bus. Il le raconte en vidéo…
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Un vélo « électrique » est un cycle équipé de pédales et d’un moteur électrique auxiliaire, alimenté par une source d’énergie, qui est généralement une batterie rechargeable.
Au Canada, un « vélo électrique », ou e-bike, est un moyen de transport sur deux ou trois roues équipé d’un moteur électrique et d’un pédalier qui permet de l’utiliser comme un vélo classique. Le moteur, dont la puissance ne doit pas dépasser 500 W, doit être actif uniquement lorsque la vitesse du vélo se situe entre 3 et 32 km/h.
En Suisse, il est défini comme un vélo propulsé par un moteur électrique d’assistance, capable de fonctionner de manière autonome.
Selon l’Union européenne, les « vélos à moteurs » comprennent une catégorie spécifique qui englobe les vélos à assistance électrique. Les vélos à assistance électrique ont vu le jour dès les années 1890 ; c’est dans les années 1930 que le premier modèle de production, l’EMI/Philips, a été mis sur le marché. Ils refont surface vers la fin des années 1970 et suscitent un nouvel intérêt depuis l’an 2000 grâce à l’amélioration des performances des batteries.